Tu écrirais du milieu de ton petit monde, entre les pots de caramel et les plantes parapluies, le chant de la bouilloire et les éclats du dehors. Tu mêlerais leurs histoires à la tienne, réécrirais tout, chaque jour, un peu plus. Laisserais son silence à la petite chambre. Te réfugierais ici. Pour que tes mots se colorent, pour que tes mots prennent vie.
samedi 24 janvier 2009
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