Nous habitions un petit bout de maison. Tu appelais ça notre cabane-maison. Et ça me faisait rire. Quelques morceaux de murs, un plafond aux mille plic-ploc, du vent entre les orteils... Nous y étions bien. Notre cabane aurait pu être perchée au sommet d'un arbre ou piquée entre deux sapins, la vie n'aurait été que plus belle. Vivre pour jouer ou jouer pour vivre. Dans notre petit bout de monde, le but du jeu, c'était d'être heureux.
lundi 19 janvier 2009
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