samedi 24 janvier 2009

Pour écrire - suite

Ce matin-là, tu avais pris avec toi ton carnet, le plus joli, et quelques livres, pour les avoir tout près. Tu avais quitté la petite chambre, ta table, sa fenêtre, le rideau, avais fait craquer le plancher, un pas à la fois, jusqu'à la cuisine.

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