Elle voulait écrire sur l'amour. Sur ce qui restait de l'amour, de ses amours. Elle voulait écrire sur un amour d'été. Sur un amour passé, avec un peu de présent toutefois. Il y aurait les "te rappelles-tu" et les moments là-bas. Il y aurait le souvenir d'une rencontre, de sourires, d'un bonheur. Mais le baiser, lui, serait au présent.
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4 commentaires:
Bonjour Marie,
Commentaire simple : gare aux répétitions cinq fois le mot amour dans les quatre premières phrases, c'est lourd. Surtout pour un texte qui prétend à la légèreté.
Commentaire complexe : j'ai l'impression que tu as trop confiance à l'évocation traditionnelle des mots utilisés (présent, moments, souvenir, sourires, bonheur). L'avantage du poème est qu'il permet de prendre possession des significations, ouvrir le sens vers l'univers qui t'est propre. C'est la différence entre une voix et ta voix.
À bientôt.
Salut Jean-Simon.
D'abord merci de m'accorder de ton temps.
Tu dois toutefois savoir que "Le baiser" n'est pas un poème, mais bien un clin d'œil au texte d'une amie. Il n'y a pas de recherche poétique ou littéraire. Ce n'est qu'une image, qu'une impression, mise en mots pour le plaisir d'écrire.
Et oui, je fais partie de ceux et celles qui croient en la répétition et en la force des mots simples, surtout. Des mots de la vie, des mots pour tous. Ça peut paraître simple, te sembler être du gaspillage. Mais ma voix à moi, aussi petite soit-elle, se développe comme ça, pour le moment.
À bientôt.
T'inquiètes, je peux mettre la pédale douce!
Prends tout ton temps. Rien n'est gaspillage, tout est processus.
Bon Obama day.
C'est moi l'amie.
Très fière de te faire répéter 5 fois le mot amour dans les quatre premières phrases.
Je t'aaaaaime!
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