dimanche 24 mai 2009

Les ourses

Écrire pour rêver le monde et me le raconter ensuite. Pour mieux le voir, le saisir. «Pour inventer le sens du fil qui nous attache». Des étoffes brillantes, quelques étoiles dans un ciel parfois sombre. Puis des fils. D'argent. Des étoiles filantes. Clignement. Scintillement. Devant toi, deux chaudrons renversés, «la Grande Ourse et la Petite Ourse». De deux tracés étranges, une mère et sa petite. Soudain le ciel s'éclaire. Et la nuit prend un tout autre sens.

2 commentaires:

psychfreak a dit…

J'aime vraiment cet extrait...tu me donnes envie de recommencer à écrire aussi :)

marie a dit…

Bravo :)