Il y avait la rivière et le trampoline, la grotte hantée et le quai pour rêver. Et ces cabanes fragiles, tout là-bas sur la grève, comme des maisons d'enfants, pour jouer, oublier. C'était l'été. Un soir de septembre, nous étions revenus. Dans la tempête, des babioles oubliées, nos pas contre les planches fatiguées de la cabane. Derrière nous, la porte avait grincé. Une toute dernière fois. C'était la fin. La fin de ces étés.
vendredi 6 mars 2009
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1 commentaire:
Un peu plus d'amour qu'hier à chaque fois, toujours. :)
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