Il pleuvait. Dans l'aquarium du vestibule, les courants étaient de plus en plus forts, emportaient les étoiles en petits tourbillons. De l'autre côté de la porte, les armoires étaient vides et le plancher du salon, recouvert de chaudières, de bacs, de pots, de bols et de tasses de toutes sortes. Le plafond était troué de ciel. Il y aurait une grande symphonie.
vendredi 27 février 2009
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1 commentaire:
La poésie derrière le plafond qui coule....
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